• Le monde, nous le regardons, puis nous agissons en fonction de ce qu'on a vu.

     

    Voilà l'erreur que la majorité des gens font durant leur vie.

    Ils prennent des décisions en fonction du matérialisme qu'il y a autour d'eux.

     

    De tous les mammifères, l'espèce humaine est la seule dont l'enfant vient au monde sans capacité

    pour assurer sa survie. Dans la nature, un petit zèbre n'a que quelques minutes pour marcher et assurer sa survie en

    suivant sa mère. Pour le bébé humain, sa seule capacité est que son mental est vide.

    Son mental est comme une éponge prête à absorber tout ce qu'on lui dira.

     

    L'enfant apprend à parler, à fraterniser grâce à son entourage, sa famille. Puis il apprend des connaissances académiques

    en allant à l'école.  Autrement dit, quand on est enfant, on se fait bourrer le crane d'un très grand nombre de valeurs qui

    circulent dans notre entourage social. Toutes ces valeurs que l'on absorbe étant enfant deviendront notre guide pour

    assurer nos pas dans notre vie adulte.

     

    Le problème est que les valeurs sociales avec lesquelles on se fait éduquer sont très souvent archaïques,

    restrictives, nous empêchant d'atteindre notre vrai potentiel. Tout ce que nos parents nous ont dit comme par exemple ''tu

    ne feras jamais rien de bon'' ou encore ''le maudit argent'' et combien d'autres choses de nature négative sont là, gravés sur

    le disque-dur de notre subconscient.

     

    De plus, il y a les résultats erronés auxquels on est arrivé après avoir vécu certaines situations.

    Par exemple si nos parents avaient continuellement des problèmes d'argent, enfant, on pourrait avoir mis sur le disque-

    dur de notre subconscient que l'argent fait souffrir. Une fois adulte, en suivant ce principe, on agira de manière à rester

    continuellement dans la pauvreté car on se dira que l'argent nous fera souffrir.

     

    Il est donc important de comprendre que nous ne sommes pas le cumulatif de toutes ces valeurs que l'on a mises sur le

    disque-dur de notre subconscient. Un verre peut contenir de l'eau mais un verre est juste un verre. On pourrait bien le

    remplir de sable ce verre, le verre en lui-même est juste un verre, il n'est pas son contenu.

     

    Il en est de même avec ce que nous sommes réellement. Oui, enfant, nous ramassons de notre environnement social,

    une montagne de valeurs, de principes, de façons de faire les choses, de comment se comporter en société, etc. Mais tout

    ce bagage que l'on ramasse de notre environnement social ne définit pas ce que nous sommes réellement.

     

    Nous accumulons tout ce bagage social pourrais-je dire dans l'unique but de savoir comment se comporter dans

    l'environnement social où l'on évolue. Savoir quoi faire, comment se comporter, comment accomplir telle tâche, nous

    permettra de nous débrouiller dans notre environnement social, mais cela n'est nullement notre essence véritable.

     

    Tout ce que nous apprenons étant enfant et durant le temps qu'on va à l'école n'est que du data social. Globalement, ce

    data social que l'on accumule dans notre tête n'est là que pour nous servir de guide. C'est pourrait-on dire, notre petit

    guide de survie en société, rien de plus. 

     

    Notre erreur avec notre petit guide de survie en société, est que nous finissons par croire, que tout ce que nous sommes,

    c'est le contenu de notre petit guide de survie en société. Mais voilà, notre petit guide est bourré d'opinions farfelues et

    erronées.

     

    Nous sommes devenu adulte et nous suivons à la lettre notre petit guide de survie en société, remplit d'erreurs et

    d'affirmations erronées. Ce comportement idiot nous amène à vivre une vie de misère où nous utilisons qu'une infirme

    partie de notre vrai potentiel.

     

    L'Univers est énergie et création. C'est aussi ce que nous sommes. Mais au lieu de voir le potentiel créatif qui est en nous,

    nous regardons le monde matériel autour de nous. Si nous avons peu, nous regardons autour de nous et nous disons nous

    avons peu. En ayant cet état mental de pauvreté, nous vivons dans la pauvreté.

     

    Que sommes-nous?

     

    Nous sommes des êtres spirituels. Nous sommes énergie.

    Nous avons des pensées et une pensée c'est fait de quoi, c'est fait d'énergie.

     

    Nous avons la capacité de penser, de réfléchir.

    En pensant, en réfléchissant, nous trouvons, nous concevons des idées.

     

    Nous vivons dans un corps physique.

    En utilisant notre corps physique pour agir, nous pouvons transformer des idées en réalité matérielle.

     

    Pour vivre dans l'abondance, il ne faut donc pas regarder la réalité matérielle autour de nous.

    Il faut plutôt voir que que nous sommes des êtres d'énergie créatrice qui en utilisant la force de notre pensée

    pouvons concevoir des idées qui pourront être transformées en réalité matérielle grâce à l'action de notre corps physique.

     

    Autrement dit la majorité des gens actuellement pensent à l'envers.

    Ils regardent le monde physique autour d'eux puis agissent en fonction de ce qu'ils ont vu.

     

    Mais ce qu'il faut faire c'est plutôt utiliser notre capacité de penser pour concevoir une vision de ce qu'on veut obtenir

    et d'agir pour nous rapprocher de l'objet de notre désir.

     

    Mais pour parvenir à fonctionner ainsi, il faut se libérer de notre petit guide de survie social que l'on utilise au quotidien

    pour nous dire comment agir. Ce petit guide contient trop d'énoncés restrictifs qui nous empêchent de nous épanouir.

     

    Il faut faire un travail sur soi. Il faut apprendre à se reprogrammer pour être plus performant, pour pouvoir aller où on

    veut aller. Lorsqu'on était enfant, on était innocent. C'est par innocence que l'on a accepter de mettre sur le disque-dur

    de notre conscience, tout ce qu'on nous disait, tout ce qu'on entendait, toutes les conclusions que l'on croyait juste sur les

    situations que l'on vivait. Mais rendu adulte, il est temps de faire le ménage de ce que contient notre disque-dur mental.

     

    Un adulte peut comprendre, peut analyser une situation de manière très différente d'un enfant. Mais la plupart des

    adultes avancent dans la vie en se référant à un guide écrit quand il était enfant. Ceci explique pourquoi tant de gens ne

    sont pas heureux de leur travail, de la vie qu'ils vivent. Ils suivent un guide qui est comme déphasé avec ce qui est leur vie

    adulte. Un adulte doit guider sa vie sur des principes qui ont du sens, des principes sur lesquels on a réfléchit. Ce qui n'est

    pas le cas des idées, des principes que l'on a mis bien innocemment sur le disque-dur de notre subconscient quand on était

    enfant. Il faut donc comprendre, il nous faut découvrir, les principes qui nous servent de guide et si ces principes sont

    incorrects, s'ils nous gardent dans la misère, alors il nous faudra les remplacer par des principes qui nous serons plus

    bénéfiques.

     

    Pour prendre des décisions rationnelles, il nous faut comprendre notre capacité de créer. Il nous faut comprendre que

    notre capacité de création ne dépend pas de la situation matérielle où l'on se trouve actuellement. Il nous faut comprendre

    que l'on est devenu adulte. Il nous faut nous libérer de nos peurs enfantines, de nos résultats erronés que nous avons

    construits en étant enfant. Il faut nous remettre à jour. Il nous faut adopter de nouvelles valeurs qui nous permettrons

    d'aller de l'avant.

     

    Changer n'est pas tâche facile car notre pire ennemi sera toujours que nous-même. Mais changer est possible.

    Pour changer sa vie, il faut changer sa manière de penser. Tant que l'on pensera de la même manière, tant que notre

    regard sur le monde sera le même, tout changement sera impossible. Pour changer sa vie, il faut se changer soi-même.

     

    Ce n'est pas le voisin qui doit changer pour changer notre vie. C'est nous qui devons penser et agir autrement.

    Tant que l'on gardera sa manière de penser, on restera en quelque sorte dans nos bonnes vieilles habitudes.

    Tant que l'on refuse d'abandonner nos bonnes vieilles habitudes, notre vie d'aujourd'hui sera comme celle d'hier.

     

    Pour changer quelque chose à notre petit quotidien, il faut penser autrement, il faut agir autrement, il faut oser

    faire une action que l'on ne faisait jamais auparavant. Alors seulement, une action à la fois, nous commencerons

    à changer notre vie, notre quotidien.

     

    À la prochaine!

     


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  • L'humanité actuelle est plongée au coeur d'un conflit d'intérêt dont la victoire finale scellera son destin à jamais.

     

    Quel est donc ce conflit qui afflige l'humanité actuellement?

     

    Ce conflit est tout simplement la survie de l'humanité contre la survie du capitalisme sauvage.

     

    Sur le long terme, nous le savons tous, laisser le capitalisme saccager la planète comme il le fait présentement, ne peut que

    nous conduire vers un avenir extrêmement difficile. Il nous faudra affronter notre survie dans les vestiges d'une Terre

    complètement dévastée par la stupidité du capitalisme sauvage.

     

    En tant qu'être humain, avons-nous besoin d'air pur ou s'il nous faut absolument respirer du monoxyde de carbone pour

    rester en vie? Si nous choisissons le monoxyde de carbone, alors, continuons de polluer l'atmosphère en roulant dans nos

    bagnoles. Laissons à nos enfants un dépotoir à ciel ouvert. Tiens le petit nouveau, voilà ton héritage, un dépotoir à ciel

    ouvert. On a déjà pollué toute la planète pour toi. Profite bien de ton monde et inutile de nous dire merci. Nous on s'en va.

     

    Le capitalisme regarde ses intérêts pour rester en vie. 

     

    Le capitalisme veut quoi? Il veut le profit, il veut produire, il veut vendre, il veut nous garder écraser sous sa botte.

    En tant qu'être humain, voulons-nous vraiment rechercher ces revendications du capitalisme?

     

    Voulons-nous perdre notre vie à courir après le profit, à courir après l'argent?

    Voulons-nous être enchaîné à la production du capitalisme, produire, produire et produire encore plus?

    Voulons-nous que notre vie se résume à des transactions commerciales, produire, acheter ou vendre?

     

    Voulons-nous continuer à travailler pour rembourser de l'argent qui n'existe même pas au banquier?

    Le banquier a juste taper un chiffre sur le clavier d'un ordinateur.

    Pouvons-nous vraiment accepter d'être esclave du travail uniquement parce qu'un être humain, un banquier,

    a taper un chiffre sur le clavier d'un ordinateur? Sommes-nous si stupides, sommes-nous si bêtes, si moutons?

     

    Voulons-nous continuer encore et encore à laisser la valeur du fruit de notre travail enrichir uniquement celui

    que l'on appelle employeur? Oui l'employeur a le matériel de production, c'est vrai. Mais cela donne-t-il le droit à

    l'employeur de s'accaparer de la valeur du fruit de notre travail? Non, cela est bien certain. Alors pourquoi, nous tous que

    l'on appelle des travailleurs, des employés, acceptons-nous de nous faire dépouiller de la valeur du fruit de notre travail?

     

    Une seule  réponse est possible à cette question et cette réponse est tout simplement notre stupidité sans limite.

     

    Et oui, c'est uniquement parce que nous sommes stupides comme cela n'est pas possible d'être stupide que nous

    acceptons qu'un trou du cul d'employeur puisse s'accaparer de la valeur du fruit de notre travail en nous déclarant ''c'est

    mon profit'' et qu'en gentil et crétin de petit mouton, nous ne disions aucun mot de protestation.

     

    Notre misère n'est pas le fruit de la volonté de Dieu ou de toute autre entité divine à laquelle on peut s'accrocher.

    Notre misère est uniquement le fruit de notre stupidité, de notre conditionnement à nous écraser devant tout pouvoir.

     

    La Terre où nous vivons tous est notre maison. Elle est la maison de toutes les formes de vie qui se trouvent sur sa surface

    actuellement. Notre survie et celle de tout ce qui vit sur cette Terre dépend d'une mince bande entourant la Terre que l'on

    appelle l'atmosphère. Changer la distribution des gaz formant l'atmosphère affecte la température. Changer la

    température de l'atmosphère réchauffera les océans. L'atmosphère et les océans se réchauffant fera fondre les glaces du

    pôle nord et de l'Antarctique. Cette masse de glace en fondant fera monter le niveau des océans et diluera la salinité des

    océans car l'eau de la glace des pôles est de l'eau douce.

     

    Dans le nord de la Russie, le permafrost pourrait se dégeler et laisser sortir le méthane sous sa surface.

    Le méthane pourrait amplifier le réchauffement à la surface de Terre.

     

    Tous ces problèmes de réchauffement de la planète sont directement les suites du mode de fonctionnement de l'humanité

    sous le régime du capitalisme sauvage. L'humain saccage son monde, le pollue, vide les océans de ses poissons pour les

    remplir de ses déchets en plastique et ses déversement de pétrole sale. L'humain détruit les forêts et les écosystèmes

    fragiles pour les remplacer par des plantes d'intérêt commercial, traque et extermine l'animal pour lui voler son territoire.

     

    Tout ceci est le comportement de l'être humain, de l'homme et de la femme, qui se croient le roi et la reine de tout ce qui

    respire sur cette Terre. Un con et sa conne, tous deux dévoués, à la destruction de leur monde pour assouvir les intérêts de

    leur enfant chéri, le capitalisme sauvage.

     

    Dans l'issu de ce conflit à l'échelle de l'humanité et de la planète, entre la survie de la vie et la survie du capitalisme, se

    tient ce que l'on laissera en héritage aux générations à venir.

     

    Que léguerons-nous à ceux qui viendrons après-nous sur cette petite boule que l'on appelle la Terre?

     

    Leur léguerons-nous un dépotoir comme endroit où vivre, symbole de notre stupidité à tout saccager?

     

    Ou si nous serons capable, dès maintenant de commencer à agir avec amour et compassion pour notre planète, pour

    léguer à tous ceux qui viendront sur cette Terre après nous, une vraie maison, un petit coin de Paradis dans l'Univers

    où chaque enfant pourra dire ''on est bien à la maison, pas vrai p'pa''.

     

    Dès maintenant, nous devons faire des choix importants.

    Choisir d'acheter une auto et polluer ou choisir de marcher pour avoir de l'air pur à respirer.

    Choisir de manger de la viande et perpétuer l'industrie de la viande ou manger en respectant la vie animale.

    Choisir de continuer à consommer sans limite ou comprendre que notre bonheur ne tient pas dans le matérialisme.

     

    Nos choix actuels sont d'une importance capitale. Oui, vraiment, car c'est nos choix actuels qui déterminent ce que sera le

    monde dans lequel les générations à venir vont vivre.

     

    Ce monde sera-t-il des océans pollués, pratiquement vidés de leurs poissons, des poubelles remplies de déchets en

    plastique, des sols contaminés, des sols érodés, dénudés de toutes ses forêts? Un monde stérile où plus rien ne pousse.

     

    Pour laisser un tel monde aux générations futures, il nous suffit de continuer à être esclave du profit, à être esclave de la

    course à l'argent, à être esclave de sa bagnole, à être esclave de la dernière technologie, à être esclave à travailler pour

    enrichir un enculé d'employeur. 

     

    La majorité travaillant aveuglément et assidûment pour permettre à une minorité de s'enrichir. Bêêêêêêêêê!

     

    Voilà donc le conflit d'intérêt où nous sommes plongés. 

    Les intérêts du capitalisme sauvage contre les intérêts de la survie de la vie à la surface de la Terre.

    Qui gagnera ce conflit? Ce sera un de ces deux combattants, notre stupidité ou notre notre raison.

     

    Et bien sûr, l'issu du conflit sera décisif pour notre avenir à tous.

     

    À la prochaine!


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  • Bonjour!

     

    Notre cerveau, le siège de notre conscience ou du moins que nous croyons être le siège de notre conscience.

     

    Mais selon La Bible et les spécialistes de la physique quantique, la matière est une illusion.

    Si la matière est une illusion, alors notre cerveau fait de matière serait aussi une illusion et ne pourrait donc être la source

    de notre conscience. Après tout, une illusion pourrait-elle prendre conscience de son existence et dire j'existe?

     

    La conscience est-elle créée par le cerveau ou si elle est indépendante du cerveau?

     

    La réponse à cette question dépend si on est un fervent croyant du hasard ou un fervent croyant du divin.

     

    Si on opte pour le hasard, alors la conscience serait en quelque sorte le résultat de l'assemblage complexe du système de

    neurones du cerveau. La conscience serait simplement de la matière qui pense et rien d'autre.

     

    Si on est plutôt versé vers le divin, vers la spiritualité, alors la conscience va bien au-delà de notre cerveau.

    On pourrait dire que notre conscience serait aussi grande que l'Univers car selon les spécialistes de la physique quantique,

    la seule réalité qui existe est celle qu'il y a dans nos pensées. Autrement dit l'Univers est dans notre tête et nous le créons

    en temps réel.

     

    La conscience et le cerveau de l'être humain sont un mystère sur lequel l'humanité s'est toujours interrogé.

     

    Mais il y a un autre problème avec notre cerveau.

    Nous dit-il la vérité ou s'il nous dit sa vérité sur ce que nous appelons la réalité.

     

    Notre cerveau est un peu comme un ordinateur, il analyse et donne son interprétation  sur les données qu'il reçoit.

    Le problème ici est que nous ne sommes pas le créateur de notre cerveau. Quel programme notre cerveau utilise pour

    traiter les informations qu'il reçoit? Nous n'en savons rien du tout. De nos jours, on peut à l'aide d'appareils sophistiqués

    voir les zones du cerveau qui travaillent quand il s'occupe d'une tâche à accomplir mais cela ne nous dit pas ce que fait

    exactement notre cerveau pour gérer cette tâche.

     

    C'est un peu comme regarder passer une voiture sur la route. Cela ne nous dit rien sur la source d'énergie qu'elle utilise et

    sur toute la mécanique qui transforme l'énergie en mouvement linéaire. On voit juste que la voiture peut se déplacer.

     

    Nous disons je vois, j'entends, je sens, je touche mais notre cerveau est enfermé dans notre crane. Il ne peut pas voir, il ne

    peu rien sentir ou toucher. Tout ce que notre cerveau reçoit sont des signaux électrique.

     

    Que passe-t-il dans ce qu'on appelle le nerf optique? Des images, pas du tout, c'est un signal électrique.

    Même chose pour ce qu'on appelle le canal auditif. Les ondes sonores entrent dans nos oreilles mais ce qui parvient au

    cerveau est encore un signal électrique. Comment nos yeux encodent-ils le signal électrique qu'ils font parvenir au

    cerveau? Nul ne la sait, l'oeil humain n'est pas le fruit de la technologie de l'homme.

     

    C'est notre cerveau qui décode les signaux électriques qu'il reçoit, puis qu'il les assemble pour en former disons une image

    qu'il porte à notre conscience. Notre cerveau à un comportement de machine mais qui est sous la dépendance de nos

    croyances. Par exemple, prenons notre réaction face à un aliment, disons un cornichon. Si on aime manger des

    cornichons, on appréciera d'en manger mais si on aime pas les cornichons, on dira c'est dégueulasse ce truc.

     

    Un cornichon étant simplement un aliment, aimer ou non les cornichons dépend uniquement de nos croyances.

    Ce qu'on appelle, une question de goût, aimer une couleur particulière, un style de musique dépend de l'impression que

    l'on a eu la première fois que l'on a été en contact avec ce sujet et de l'impression que l'on en a gardé.

     

    Par la suite lorsqu'on est de nouveau confronté à ce même sujet, notre cerveau va piocher dans sa partie mémoriel et notre

    rencontre se fait dans une atmosphère de rêve, de plaisir.  Comme cela se répète à chaque nouvelle rencontre avec le

    même sujet, on apprécie toujours davantage ce que l'on aime. Ceci explique pourquoi rendu adulte on aime la musique

    que l'on écoutait quand on était plus jeune. Nous revoyons cette musique à travers nos souvenirs et nos souvenirs

    estompent les contours, nous faisant voir les choses d'hier plus belles que ce qu'elles sont en réalité.

     

    Il est vrai que nos souvenirs peuvent aussi bien amplifier le passé que l'adoucir. Je veux dire que par exemple, un

    événement tragique comme la perte d'un être cher, peut être aussi douloureux en revivre dans nos souvenir que lorsqu'on

    l'a vécut en temps réel. On dit que le temps efface les blessures mais les blessures disons de nature sentimentale parfois ne

    guérissent jamais.

     

    Quand nous regardons la réalité mais à travers une paire de lunette sentimentale disons, la réalité devient complètement

    autre chose que ce qui est réellement. Ce qu'on appelle la joie et la peine sont simplement notre réaction à un événement

    qui se produit en fonction d'une série de critères que l'on appelle nos croyances.

     

    Par exemples, ce sont nos opinions, nos croyances sur la mort qui feront que l'on sera plus ou moins triste lors d'un décès.

    Pour un divorce, plus on aura une image disons majestueuse de la famille, plus vivre une rupture d'ordre sentimental nous

    fera mal psychologiquement. Pour un divorce, si on se borne à regarder les faits, si ça ne va plus, il n'y a que 2 solutions

    possibles. Ou bien l'homme et la femme veulent sauver leur couple et font ce qui se doit d'être fait pour le sauver. Ou bien,

    chacun part de son côté pour commencer à se construire une nouvelle vie.

     

    Tout cela pour dire, que notre cerveau nous fait parvenir un tableau de la situation où l'on se trouve, mais par nos

    sentiments, nous remanions le tableau pour en modifier l'image. Par conséquent, nos réactions sont souvent inadaptées à

    la vraie réalité qui nous entoure. Très nombreux sont les gens qui carburent aux sentiments. Ils passent du visage tout

    souriant à la mine basse en fonction de ce que la vie leur envoie sans qu'ils se posent des questions sur leur façon d'agir.

     

    Je ne dis pas qu'il ne faut pas avoir des sentiments. Je dis simplement que prendre le temps de réfléchir un peu à la

    situation que l'on vit, sans être sous l'emprise de nos sentiments, nous permettrait ensuite de ressentir nos sentiments

    mais sans que nos sentiments prennent le contrôle sur notre vie.

     

    Nos sentiments sont une armes à deux tranchants. Si on les laisse prendre le contrôle de notre vie, nous risquons de

    transformer notre vie en montagne russe passant de la joie à la tristesse ou vice-versa en fonction des événements que

    nous vivons.

     

    Nous ne réagissons pas à ce qui est mais à ce que nous croyons qui est ou qui devrait être.

    Pourquoi avons-nous la mine si basse lorsque nous perdons notre emploi?

    C'est simplement à cause de l'idée que l'on se faisait de notre emploi. Nous pensions que l'employeur nous avait engagé 

    jusqu'à nos 65 ans. On ne pensait jamais qu'il pouvait nous mettre à la porte comme on met un sac à poubelle en bordure

    du trottoir. À cause de cela, nous n'avions jamais essayé d'avoir d'autres sources de revenus en plus de celle de notre

    emploi. Résultat de nos croyances stupides face à notre emploi, on se retrouve pris au dépourvu quand de manière

    un peu sèche et brutale, on nous annonce que l'on est viré. La morale de l'histoire de la perte d'un emploi est que si on

    veut ne jamais perdre son emploi, on retrousse ses manches pour créer sa propre entreprise et ne plus dépendre des bons

    vouloirs d'un employeur.

     

    Notre vision de la vie se fait donc au travers du grillage de nos croyances.

    C'est donc nous-même qui nous nous racontons des salades.

     

    Mais notre cerveau nous raconte aussi des salades par son mode de fonctionnement très rigide.

    Par exemple, les couleurs que nous voyons existent-elles vraiment en dehors de notre tête?

    C'est quoi une couleur exactement? C'est de l'énergie en vibration qui frappe nos yeux.

    Nos yeux envoient un signal électrique à notre cerveau qui le décode puis notre cerveau porte à notre conscience

    une couleur. On dit c'est bleu, c'est jaune ou c'est rouge. Les couleurs sont juste dans notre tête.

     

    Prenons aussi ce qu'on appelle, la profondeur ou le relief. Nous disons que le monde est en trois dimensions.

    Mais quand on regarde une paire d'images stéréos, notre cerveau nous envoie une seule image qui a un effet de relief, un

    effet de 3 dimensions. Nous regardons bien deux images planes. Si on en regarde juste l'image de gauche par exemple, il

    n'y a aucun relief. Le relief, la profondeur, c'est donc bien le cerveau qui produit cela.

     

    Tout ce qu'il y a autour de nous, c'est de l'énergie en vibration.

    Et regardons le mouvement. Notre cerveau voit le mouvement là où il n'y en en pas.

     

    Dans une télévision ou un écran d'ordinateur, peut-il y avoir du mouvement.

    Non bien sûr, un écran cathodique ou un écran plat à dels permettent l'apparition d'images fixes à une cadence

    d'environ 24 à 30 images par secondes. L'important ici est que les images sont bien des images fixes.

    Mais un objet dans chaque image peut avoir changer de position légèrement. Lorsqu'on regarde les images défiler

    rapidement, notre cerveau transforme cela en un flot continue d'images aboutissant à une illusion de mouvement.

     

    Dans un écran plat de télévision ou d'ordinateur il n'y a rien qui bouge. Il y a juste des diodes lumineuses qui

    s'allument ou s'éteignent. Il n'y a rien qui bouge. Le mouvement que notre cerveau nous fait parvenir quand on regarde

    une vidéo sur un écran plat de TV ou d'ordinateur est juste une illusion créée par notre cerveau.

     

    Et que penser de toutes ces illusions d'optique que l'on retrouve sur le web?

    C'est juste des images mais certaines semblent bouger, tourner. Ou bien c'est les couleurs qui sont identiques mais notre

    cerveau nous dit qu'elles sont différentes. Ou encore c'est la forme que le cerveau voit comme par exemple deux visages

    vue de profil d'une couleur unique blanche. La zone entre les 2 visages est noire. Ici soit que notre cerveau voit les 2

    visages ou bien il voit dans la forme noire qui sépare les 2 visages une coupe de vin.

     

    Nous pouvons voir que notre cerveau est en quelque sorte un interpréteur. Il est conditionné pour fonctionner d'une

    manière très précise. La majorité des illusions optiques que l'on nous montre sur le web ne nous affecte pas beaucoup

    puisque l'on ne rencontre pas ce genre d'illusion dans la vie de tous les jours.

     

    La seule illusion que le cerveau utilise continuellement est celle du mouvement que nous envoie notre cerveau.

    Nos yeux captent une image après l'autre et grâce à la persistence rétinienne, quand nous bougeons, le décor autour de

    nous semble se déplacer de manière fluide. Sans ce tour de passe-passe de notre cerveau, on percevrait le monde un peu

    comme si on regardait un vieux film au début du cinéma à 18 images par secondes. Ces vieux films transforment le

    mouvement des personnages en une bizarre démarche saccadée.

     

    Nous humains sommes à la fois simple et difficile à comprendre.

     

    On est simple à comprendre si on accepte le fait que l'on est une conscience qui expérimente l'existence à travers l'illusion

    de matière. Dans ce cas, nous comprenons que ce qu'on appelle la réalité, est simplement un rêve dans lequel nous

    évoluons.  C'est à nous de retrouver nos esprits et de cesser de dire que l'on est moi car il n'existe qu'une seule conscience

    et tout ce qu'on peut dire dans l'illusion de la matière est je suis.

     

    Si d'un autre côté, on croit, dur comme fer, que l'on est que matière, alors nous sommes très difficile à comprendre.

    Ce que nous appelons notre réalité est construite en partie par le fonctionnement même de notre cerveau puis cette réalité

    est altérée par nos croyances et finalement par nos états d'âme que l'on appelle nos sentiments. Ceci explique pourquoi ce

    qu'on appelle la réalité est une vision très personnelle appartenant à chacun de nous.

     

    Celui qui a un esprit guerrier aura une vision du monde très différente de celui qui a un esprit de moine.

    Celui qui a un chagrin d'amour aura une vision du monde très différente de celui qui vient de gagner le gros lot à la loterie.

    Le premier ministre d'un pays a une vision du monde très différente du citoyen le plus pauvre vivant dans ce même pays.

     

    Notre réalité est basée sur nos croyances, sur nos états d'âme et tout cela est en grande partie, que des salades que l'on se

    raconte à longueur de journée. Ce qu'on appelle notre réalité n'est donc qu'une sorte de prison dans laquelle on s'est

    enfermé soi-même. Si nous faisons l'effort de changer nos croyances et de surveiller nos états d'âme, de ne plus laisser la

    guidance de notre vie être sous le contrôle de nos sentiments alors notre réalité ne pourra faire autrement que de changer.

     

    Notre cerveau est à notre service, mais, quand nous même commençons à nous laisser entraîner dans la spirale des

    croyances et des sentiments, la réalité que nous nous imaginons vivre peut vite devenir un enfer.

    Mais cet enfer n'est qu'un cumulatif de perception dont le contrôle nous aura échapper.

     

    Quand nous disons reprendre le contrôle de notre vie, nous voulons dire reprendre le contrôle sur notre cerveau, sur nos

    pensées, sur nos sentiments, sur ce qui nous pousse à agir. En reprenant le contrôle sur tout cela et en gardant fermement

    ce contrôle, alors nous auront le contrôle sur notre vie et sur la réalité dans laquelle on évoluera.

     

    Après tout, si vraiment toute matière n'est qu'illusion, alors c'est que tout est pensée, tout est le fruit de notre imagination.

    Et si tout est pensée, vivre notre vie en enfer ou au Paradis est aussi juste une question de pensée.

    D'où notre grand intérêt à prendre le contrôle de nos pensées pour nous éviter de croire que seule la misère est notre

    lot quotidien alors que notre abondance est juste à une pensée de nous, à un changement d'état d'esprit, à un changement

    d'attitude face à la vie dans notre petite tête.

     

    Que doit-on faire pour passer d'une attitude de perdant à une attitude de gagnant? Il nous suffit simplement de changer le

    contenu de nos pensées. Changer nos pensées, c'est changer notre attitude. Avoir une attitude de gagnant nous poussera à

    agir alors que si nous avons une attitude de perdant, on se renfermera de plus en plus sur nous-même au point d'être

    moins que notre propre ombre.

     

    Bien, alors cher ami ou chère amie, cessez de vous racontez des salades, prenez le contrôle de votre vie et faites en un

    succès monstre à la grandeur  de votre imagination sans limite.

     

    À la prochaine!


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  • 001 - 11-02-2020 _____ Ce qu'on a reçu

    002 - 15-02-2020 _____ D'où vient la valeur de l'argent

    003 - 21-02-2020 _____ Triste humanité

    ============================================

    004 - 15-03-2020 _____ L'inflation, une taxe déguisée

    005 - 22-03-2020 _____ Notre foi nous aveugle 

    ============================================

    006 - 18-04-2020 _____ Dilution monétaire

    ============================================

    007 - 10-05-2020 _____ Les 3 caractéristiques de l'argent

    ============================================

    008 - 13-07-2020 _____ Avoir le sens des valeurs

    ============================================

    009 - 13-11-2020 _____ Réfléchir sur notre mentalité tribale

    010 - 13-11-2020 _____ Qui sommes-nous vraiment?

    ============================================


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  •  

    Quand nous rêvons, la réalité de notre rêve nous paraît si réelle que tout notre corps y répond

    tout comme si nous étions en état d'éveil

     

    Par exemple, si on rêve que l'on est en forêt et que l'on est poursuivit par un ours qui est sur le point

    de nous attraper, on se réveillera criant de terreur, tout en sueur, le coeur battant la chamaille.

     

    Cela se produit à cause que nous ne réagissons pas à la réalité qui est simplement d'être dans notre lit

    mais à la réalité que nous imaginons dans nos pensées et que nous croyons être la réalité.

     

    En état d'éveil, nous réagissons à ce qui nous entoure en fonction des valeurs qui définissent ce qu'on appelle le "moi".

    Ce "moi" sert de comparateur avec tout ce qui nous entoure. Ce qui est en harmonie avec nos valeurs nous plait

    alors que ce qui fait dissonance avec nos valeurs nous déplaira.

     

    Mais ce "moi" a été construit principalement sur l'environnement social et matériel qui nous entourait quand

    nous étions enfant. Ce "moi" serait donc différent si nous étions né dans un autre pays.

     

    Quand je dis que je suis francophone, c'est uniquement parce que suis né dans un endroit où les gens parlaient français.

    Si j'étais né en Chine, les gens parleraient chinois et moi je dirais que je suis chinois et je parlerais chinois.

    Une histoire facile à comprendre.

     

    Tout "moi" est donc juste le fruit d'un conditionnement matériel et social et n'est pas ce que l'on est

    réellement en essence. Quand nous venons au monde, nous n'avons pas de "moi". Le "moi" nous

    le construisons en accumulant ici et là des valeurs que nous déclarons "Nôtre". Le cumulatif de

    toutes les valeurs que nous avons cumulées principalement durant notre enfance définit

    ou sculpte ce que nous croyons être en tant qu'être humain. On dit simplement "c'est moi".

     

    Mais la Bible dit : "poussière tu es et poussière tu retourneras".

    La Bible nous dit donc que la matière n'est qu'une illusion.

    Nous sommes poussière, nous sommes néant et nous retournerons au néant.

     

    Les spécialistes de la physique quantique disent que la matière n'existe pas.

    Elle est créée en temps réel par notre conscience.

    La matière devient ponctuelle uniquement quand une conscience l'observe.

    Comme le disent les spécialistes de la physique quantique, quand la matière est observée par une conscience

    il y a effondrement de l'onde et la matière devient ponctuelle.

     

    La Bible et les spécialistes de la physique quantique s'accordent sur ce point, la matière est une illusion.

     

    Par conséquent, se bâtir un "moi" à partir de valeurs acquises d'un environnement matériel qui serait une illusion

    ne peut que nous faire créer un "moi" de nous-même qui n'est qu'une illusion à propos de ce que l'on est vraiment.

     

    Qui sommes-nous vraiment?

     

    On peut choisir de croire que l'on est que matière.

    On est juste un peu de matière ayant développer la faculté de penser et quand survient la mort, tout s'arrête, c'est la fin.

     

    Ou bien.

     

    On peut choisir de croire que l'on est conscience. La matière est juste une illusion créée par notre conscience.

    En tant que conscience, nous sommes sans âge, sans forme, éternelle. Nos possibilités sont infinies.

    Par l'illusion de la matière, nous pouvons dire j'existe et devenir tout ce que nous voulons être.

     

    Le choix est nôtre.


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