Bonjour!

 

Cher ami / Chère amie,

 

Qu'est -ce qu'une ferme et la société humaine ont en commun?

La réponse est que ce sont deux endroits où la domestication règne en maîtresse absolue.

 

Prenons une ferme, il y a le fermier, l'écurie et les vaches.

Le fermier domestique les vaches, c'est-à-dire qu'il apprend aux vaches à adopter un certain comportement

dans le but but de pouvoir facilement exploiter leur capacité à produire du lait et ainsi s'enrichir.

 

Dans la société, pour chaque pays, il y a le gouvernement, l'école publique et les enfants.

Le gouvernement domestique les enfants, en leur apprenant à s'écraser devant l'autorité et en les éduquant de telle sorte

qu'ils deviennent des employés obéissants et rentables pour leurs employeurs afin qu'ils puissent recevoir un salaire et

par la suite être en mesure de payer des taxes et des impôts.

 

Le fermier domestique ses vaches en les entraînant à venir à l'écurie et à aller se placer toute seule à la place qui leur

est assignée. Le fermier n'ayant plus qu'à traire chacune de ses vaches.

 

Comment appelle-t-on une ferme où un fermier fait de l'argent en vendant le lait de ses vaches?

On appelle cela une exploitation laitière. Le fermier exploite son troupeau de vache pour faire de l'argent.

 

La société humaine actuelle ressemble énormément à une ferme où on exploite des vaches.

 

En effet, dans la société humaine, il y a le gouvernement d'un pays, qui utilise l'école publique pour exploiter les enfants.

Comme les gouvernements sur cette Terre, laissent le contrôle de la création de l'argent entre les mains des banquiers,

les gouvernements transforment les enfants en employés dans le but qu'ils puissent travailler et payer des impôts.

 

Comme les banques demandent que l'argent qu'il crée leur soit remboursé capital et intérêt, le système monétaire

devient un outil d'asservissement pour tous les êtres humains qui utilisent de l'argent comme mode de paiement.

 

En effet, les gouvernements écrasent sous les impôts les gens qui vivent dans les territoires qu'ils contrôlent

pour pouvoir rembourser l'argent qu'ils empruntent des banques. Les gens qui travaillent sont obligés de payer

des impôts au gouvernement du pays où ils habitent.

 

Tout ce système monétaire mis en place par les banques et les gouvernements permet de garder les gens

dans la course à l'argent et de facilement les contrôler. 

 

Ce qu'on appelle avoir une dette est en fait une forme de domestication.

L'être humain finit par croire que l'argent existe vraiment alors qu'il n'en est rien.

L'argent est en fait juste un droit de création. On crée de l'argent à la volée à partir de rien.

Il suffit de taper un chiffre sur le clavier d'un ordinateur.

 

On dit que 97% de l'argent n'existe que dans le ventre des ordinateurs, dont l'argent n'existe pas.

Mais si chaque humain dans sa tête croit que l'argent existe alors pour l'humanité l'argent existe.

 

Et c'est cette croyance générale au sein de l'humanité qui garde l'humanité dans la course à l'argent.

 

La Bible dit que celui qui a la foi ne serait-ce que gros comme un grain de sable, sa foi pourrait déplacer des montagnes.

 

Quand plus de 7,8 milliards d'êtres humains mettent leur foi dans l'existence de l'argent, alors un petit groupe d'hommes

bien ordinaires que l'on appelle des banquiers, deviennent comme des dieux pouvant contrôler la vie de ces 7,8 milliards

d'imbéciles humains.

 

C'est la stupidité des humains à croire en la réalité de l'argent qui donne au banquier son pouvoir divin de créateur

d'argent à partir de rien. L'humanité est devenu esclave de la stupidité de son jugement face à l'argent.

 

Le banquier et l'escroquerie de son système monétaire à réussi à duper, que dis-je, à domestiquer l'être humain.

L'être humain agit à la manière dont le banquier l'a domestiqué, l'a entraîné à agir, à se comporter devant un seul mot

somme toute assez innocent, le mot ''argent''.

 

De nos jours, en ce début du 21e siècle, l'être humain pour de l'argent travaille, de jour, de soir de nuit.

Pour de l'argent l'être humain bousille sa vie, bousille le monde où il vit, irait jusqu'à vendre son âme au diable.

 

Pourtant l'argent est juste un mot. L'argent est juste des charges magnétiques sur la surface des disques durs des

ordinateurs. L'argent c'est majoritairement du virtuel, c'est un bout de plastique comme une carte de crédit.

L'argent prend sa valeur de départ dans les pensées que les gens ont dans la tête.

 

L'argent c'est juste un outil d'asservissement. L'argent c'est comme une épée que l'on nous met sur la gorge

en nous disant travaille ou meurt. C'est à chacun de nous d'avoir assez de colonne pour nous en libérer

et de nous tenir de nouveau debout comme des êtres humains et cesser un fois pour toute de faire le mouton stupide

pataugeant dans le marécage de la stupidité humaine.

 

Le pouvoir de l'argent ne vient pas du banquier ou du gouvernement.

Le pouvoir de l'argent vient de nos pensées, de nos croyances profondes inconscientes.

 

Quand des milliards de personnes acceptent de donner à un seul mot, le mot ''argent'' du pouvoir,

ce mot acquiert tant de pouvoir qu'il finit par entraîner l'humanité entière vers sa propre perdition.

 

Pourquoi acceptons-nous d'être diriger par une bande de fonctionnaires minables?

C'est parce que l'humain est devenu un mouton stupide qui préfère perdre son temps

à regarder des vidéos de chats sur YouTube plutôt que de travailler à un monde meilleur pour lui-même

et pour les générations à venir.

 

Pourquoi acceptons-nous de vivre écraser sous l'escroquerie du système monétaire que les banques ont mise en place?

Encore une fois, c'est parce que l'humain, nous tous, sommes devenus une bande de mauviette, des nuls à chier sans

colonne. On trouve plus facile de vivre écraser sous le pouvoir qui nous opprime que d'oser se tenir debout pour changer

les choses, pour commencer à bâtir la société que l'on aimerait léguer à nos enfants et aux générations futures.

 

Dans la société capitalisme actuelle, qui a vraiment le pouvoir?

Est-ce les banques ou les gouvernements?

 

La réponse est que le vrai pouvoir est entre nos mains, celles du citoyen ordinaire.

 

Le capitalisme c'est produire, c'est consommer.

Qui produit, qui consomme, c'est nous tous, les citoyens ordinaires.

 

Cessons de produire, cessons de consommer, une journée, une semaine, un mois

et l'économie capitalisme se met aussitôt à trembler, à avoir mal.

 

Qu'à fait Gandhi aux Indes pour chasser les anglais de son pays.

Il a simplement demander au peuple des Indes, de cesser de coopérer avec les anglais.

Les anglais ne pouvant pas diriger un pays où les gens ne coopèrent pas avec le pouvoir en place

ont fini par quitter les Indes.

 

Il en est de même avec le capitalisme. La seule façon de s'en débarrasser, c'est de cesser de coopérer avec lui

car le capitalisme devient plus fort quand nous coopérons avec lui et se meurt quand nous cessons de lui donner

notre coopération.

 

Cela est vrai pour le pouvoir des gouvernements, du pouvoir des banques, du pouvoir de l'économie capitalisme.

Ils sont forts quand nous acceptons de coopérer avec eux car leur pouvoir provient de notre acceptation à suivre

les règles qu'ils nous imposent.

 

L'économie, c'est des travailleurs, c'est des vendeurs, c'est des acheteurs.

Et des travailleurs, des vendeurs, des acheteurs, c'est des êtres humains, c'est des citoyens ordinaires.

Sans travailleurs, sans vendeurs, sans acheteurs, l'économie capitaliste s'écroule et disparaît de la surface de la Terre.

 

Par conséquent, l'économie capitaliste, donc le capitalisme, repose sur nos épaules, repose sur nos choix,

repose sur ce que nous tous, qu'on appelle ''le simple citoyen'' choisissons de faire.

 

Agissons pour favoriser le capitalisme et nous vivrons dans une société capitaliste, froide et sauvage.

C'est le choix que l'on a fait à ce jour et c'est pourquoi nous vivons dans la société capitaliste actuelle.

 

Agissons pour favoriser une société où la famille, les amis, la joie de vivre seraient notre priorité

et nous verrions naître une société ou famille, amis et joie de vivre seraient la normalité.

 

Nous ne pouvons récolter que ce que l'on a semé.

Seul un fou pensera récolter des choux en mettant en terre des graines de carotte.

 

Il en est de même avec la société où l'on vit.

La société où l'on vit résulte du mode de vie et des valeurs qui ont servi à lui donner existence.

 

L'argent, la dette, la finance, le pouvoir, aboutissent à créer une société capitaliste barbare et sans âme.

Sous le capitalisme, nous sommes tous en compétition les uns avec les autres. La compétition, c'est le capitalisme.

 

L'amour, la compassion, l'entraide, la famille, les amis, toutes ces valeurs s'ils étaient mises en priorité ne pourraient que 

tous nous diriger vers une société où l'harmonie et la chaleur humaine y serait en grande estime.

Dans une telle société où régneraient harmonie et chaleur humaine, nous pourrions tous être des amis qui prendraient

grand plaisir à s'entraider. Puisse un jour, l'humanité voir une telle société humaine prendre existence.

 

Mes amis!

À la prochaine!