Allez près d'une grande route vers 5 heures de l'après-midi où la circulation automobile est intense.

 

Vers 5 heures de l'après-midi, c'est comme on le dit, l'heure de pointe.

Des gens finissent de travailler, certains à 3 heures PM, d'autres à 4 heures PM ou 5 heures PM.

Tous gens qui retournent à la maison. Tous ces gens revenant du travail.

 

Pourquoi ont-ils été travailler? Pour de l'argent, pour une monnaie qui ne cesse de perdre de son pouvoir d'achat.

 

Tous ces gens, tous ces moutons humains qui pensent avec leurs pieds, qui vont travailler non pas pour s'enrichir eux-

mêmes, mais pour enrichir un foutu employeur. Il est donc facile de comprendre pourquoi les employeurs capitalistes

roulent sur l'or pendant que les employés peine à boucler leur fin de mois.

 

Tous ces gens qui matin et soir, dans leur bagnole, polluant l'atmosphère de la planète au point de provoquer des

changements climatiques à l'échelle de la planète. Tous ces abrutis vont bientôt frapper un mur et cela va faire très mal.

 

On commence de plus en plus de parler d'effondrement de la société capitaliste actuelle.

Qu'est-ce qui maintient le rythme de vie trépidant de la société capitaliste actuelle?

Qu'est-ce qui nous permet de traverser l'océan atlantique en 5 heures à bord d'un avion de ligne?

Qu'est-ce qui permet de continuellement approvisionner les magasins, les épicerie?

Qu'est-ce qui permet à cette bande de moutons humains d'utiliser leur bagnole pour aller et revenir du travail?

Qu'est-ce qui permet de produire une montagne de produits en plastique?

La réponse à toutes ces questions est toujours la même, c'est le pétrole.

 

Or justement, les jours où le pétrole était facile à extraire du sol sont maintenant derrière nous.

Produire un baril de pétrole devient continuellement de plus en plus difficile.

Plus il difficile de produire un baril de pétrole, plus le prix pour un baril augmente.

 

Donc, un beau jour il en coûtera trop pour produire un baril de pétrole que cela ne sera plus rentable.

Quand le prix de vente d'un baril de pétrole sera trop dispendieux, par exemple 100 dollars le litre soit plus de 80 euros le

litre, les bagnoles de cette bande de moutons deviendront des objets de décoration devant leur maison.

 

Le rythme de vie de notre société capitaliste repose exclusivement sur le pétrole.

 

Pensons à l'agriculture par exemple. Un seul gros tracteur labourant le sol sur plusieurs mètres de large en tirant plusieurs

socles de charrues un à coté de l'autre. Un cheval ou un boeuf  ne pourrait pas faire cela.

 

Rappelons-nous cette fresque égyptienne qui montre un boeuf tirant une charrue fait avec des pièces en bois.

Ou encore, en Afrique, le paysan africain ne cultive pas son champs avec un tracteur dégageant 900 H.P. de puissance.

 

Pourtant quand le pétrole disparaîtra de notre horizon, il faudra bien reprendre ces bonnes vielles méthodes.

Il nous faudra tous retourner vers la nature. À ses débuts, il est dit de l'humanité que nul ne cultivait la terre.

Mais à cette époque, l'homme n'avait pas fait bondir sa population à plus de 7 milliards d'individus.

 

Supposons que vous avez un jardin de 12 mètres par 12 mètres. Vous travaillez dans votre jardins, il n'y a pas de problème.

Mais si en même temps que vous essayez de travailler dans votre jardin, il y a 2000 personnes qui piétinent partout, qui

écrasent sous leurs pieds, les légumes qui commencent à peine à pousser, cela détruirait votre récolte de légume n'est-ce

pas? C'est exactement ce que fait la population humaine actuellement avec la planète Terre.

 

Parce que nous avons surpeuplé et qu'actuellement nous continuons à surpeupler, nous écrasons tout sous nos pieds.

La surpopulation provoque un stress sur la production des ressources alimentaires pour nourrir tout le monde.

Parce qu'il y a plus de monde sur la Terre, il faut plus de routes, plus de maisons, plus d'automobiles sur les routes.

 

Il est vrai que l'on pourrait nourrir tout le monde si chacun de nous devenait végétarien. Mais cela n'arrêterait pas la

pollution dut à la consommation phénoménale de plus de 7 milliards d'êtres humains. En étant en surnombre, nous

envahissons les territoires des autres espèces animales. Les gros animaux comme les éléphants, les rhinocéros, les lions,

les ours, les chevreuils, les gazelles, ont de moins en moins de territoire. Même dans les réserves, les braconniers sont à

l'oeuvre. L'homme traque l'animal jusqu'à son extinction ou encore il détruit l'écosystème où l'animal vie.  L'animal

n'ayant plus d'endroit où vivre ne peut que finalement disparaître de la surface de la Terre.

 

Des millions de pollueurs assis dans leur auto matin et soir. Les océans absorbent une bonne partie de ce monoxyde de

carbone engendré par cette bande de moutons mais cela a un prix. Les océans s'acidifient et les eaux des océans en

devenant acide mettent en péril le cycle de la chaîne alimentaire. L'acidité élevée de l'eau fait mourir le zooplancton ou

empêche la formation de coquillage, fait mourir le corail, etc. Quand le début de la chaîne alimentaire va mal, cela ne peut

faire qu'un effet domino sur tout le reste de la chaîne alimentaire.

 

De plus, les océans c'est 75% de la surface de la Terre. Si les océans sont disons en état de traumatisme sévère, ce qui se

trouve sur les continents, soit le 25% de ce qui reste de la surface terrestre, ne pourra qu'en ressentir les effets néfastes.

Une bonne partie de l'humanité dépend de la pêche pour survivre. Or l'être humain par sa pollution acidifie l'eau des

océans, les remplit de déchets en plastique en plus de pêcher les poissons avec ces gros bateaux de pêche à un rythme plus

rapide que la capacité des espèces à se reproduire. Résultat de toute cette bêtise de l'homme, il y a de moins en moins de

poissons dans les océans. De plus, les poissons que l'homme pêche actuellement sont contaminés aux particules de

plastique. 

 

Les particules de plastique font partie de notre chaîne alimentaire de nos jours. On peut dire que nous mangeons une

partie de nos déchet en plastique. C'est ce qui se produit quand des milliards de crétins consomment et polluent comme

une bande de débiles mentales.

 

Voilà ce qu'on peut comprendre, ce qu'on peut imaginer, quand on regarde cette bande de moutons, pare-choc à pare-choc

qui polluent la planète matin et soir bien assis dans leur bagnole.

 

On fait ce que tout le monde fait en pensant avec ses pieds. 

 

L'être humain est-il intelligent? Oui.

L'être humain fait-il preuve de sagesse? Non.

Qu'est-ce qui peut provoquer la disparition de l'humanité de la surface de la Terre?

La stupidité humaine qui semble n'avoir aucune limite.

 

L'humanité peut-elle survivre à sa disparition?

Oui, si elle acquiert la sagesse et agit avec sagesse.

 

L'humanité peut-elle disparaître de la surface de la Terre?

Oui, si elle maintient sa mauvaise habitude de penser avec ses pieds pour guider son comportement.

 

Actuellement, ce qui guide l'être humain n'est que sa propre bêtise.

L'être humain ne pense pas où s'il pense c'est avec ses pieds.

 

L'être humain bousille sa vie à courir après une monnaie sans valeur. Pourquoi? C'est parce qu'il ne pense pas.

L'être humain travaille pour enrichir uniquement une petite minorité? Pourquoi? C'est parce qu'il ne pense pas.

Le système monétaire est une escroquerie. Nul ne dit rien. Pourquoi? Parce que l'être humain ne pense pas.

La démocratie n'existe pas. Nous vivons dans une oligarchie. Nul ne se révolte, Pourquoi? Parce que l'être humain ne

pense pas. Il est un stupide mouton qui se contente de suivre fidèlement le troupeau. Dès que quelqu'un ose lever la voix,

on le désigne comme un marginal nuisant au bon fonctionnement de la moutonnerie humaine.

 

Où s'en va l'humanité? Sûrement pas très loin, assise dans sa bagnole, la cigarette au bec, attendant son tour au service à

l'auto d'un restaurant de fast-foods. Souffrant d'embonpoint par son manque d'exercice et la manière idiote de se nourrir,

l'humanité par son mode de vie de grande consommatrice, creuse lentement sa tombe où elle ira un jour, terminer son

existence.

 

À la prochaine!